L’illusion trouve sa craque
Dans ma carapace patraque
Se glisse le long des fêlures
Fuit à travers moult blessures
De traîtres repos assassins
Ne ramènent plus les matins
Que le feu dans les corps tordus
Des pas vacillants, esprit perdu
Je pends aux cordes distendues
De mille archi-duchesses déchues
Accroché, un caniche déchaîné
Aux pans de leurs hardes élimées
Pour que la blessure enfante
S’accouple avec la vie fuyante
Dans une noce ultime et bénie
Par la paix, le silence et l’oubli
Flying Bum
La fin est assez sépulcrale… Brrr. Spectrale, même… Je passe commande d’un poème plus optimiste.
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OK, le prochain sera pour toi, plus printanier !
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ah ces blessures enfantes…
et s’accrochent nos vies fuyantes
pour un peu de paix et d’oubli
…
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Magnifiquement dramatique !
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Merci!
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💗💗
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