L’été remet ses bottes le désordre revenu
Silence effroi la terre la boue les vents froids
Livide et immobile comme les arbres nus
Un trou où se pieuter aux abris aux grabats
Voir venir comme on va à la fête sans joie
Couleurs souvenirs boudent la mémoire
Avant le soir les jours tournent au noir
Binette bêche truelle et pelle à l’armoire
Les âmes s’envolent les ailes au désespoir
Jardins et vieux élus sont prêts pour la mort
La vie sa joie son vieux monde se meurt
Un nouveau monde qui ne sait plus être
Et dans le clair-obscur entre ces heures
Chantent et dansent monstres aux fenêtres
Comme une grande fête au crépuscule
Flying Bum
Gramsci t’a inspiré.
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Effectivement, une phrase qui est restée accrochée dans mon esprit et son rapport étroit avec ce que j’appelle l’heure bleue souventes fois dans mes textes, cinq heures du matin, la sensation de suspension du temps entre la nuit et le jour, le vertige, entre une vie et une autre, inconnue celle-là. Pour ce qui est de son oeuvre – immense- je suis un inculte.
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Un air de magie rôde aux fenêtres. Des illusions magiques niassent dans les chaumières mais une chose s’amarre au port d’attache de notre coeur: L’amitié
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Merci Marie-Josée, passe un beau week-end.
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Ta poésie.
Cette manière de me danser.
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Je te danse? Dedededededanse dans ma tête? Bon samedi, Caroline 😁
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Pareillement, Luc.
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