Les mouches du temps

Time flyes, disent les chinois. Et moi, je ne fais que passer.

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Je ne fais que passer le temps de vous dire qu’entre les mandats à finir, la canicule qui rend vache et un petit aller-retour au fabuleux royaume du Saguenay, le temps d’écrire perd hélas son tour et je vous laisse avec pas grand-chose de nouveau pour vous mettre sous la dent. Ou sous les yeux. Ou les lunettes, c’est selon.

Pour vous permettre de garder la bonne habitude de lire ce blogue, je ne saurais trop vous recommander une mignonne petite lecture d’été toute “quioûte”, ou re-lecture pour les mordus, qui vous transportera dans l’Abitibi des années soixante. Je vous garantis personnellement que les mouches noires ne viennent pas avec l’histoire, juste le tout petit moi en culottes courtes et une riche petite fille russe de Toronto à laquelle j’ai dû servir de jouet l’espace d’un été mémorable.

Cliquer ici: Va pour Loretka!

Et bonne lecture en attendant que je m’y remette.

Flying Bum

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